Comment percevez vous la KE/KM avec vos yeux d’étudiants ?
Après une présentation succincte sur la KE/KM, nous avons pu avoir une première approche de cette matière, et savoir en quoi consistait cet enseignement novateur. A l’heure d’une économie mondiale en constante évolution, l’entreprise de demain doit savoir s’adapter aux nouvelles mutations qui ne concernent plus seulement l’aspect économique, social ou spatial mais un changement de la connaissance globale. On peut définir la KE comme étant la nouvelle ère de l’information et de l’immatérialité qui utilise les connaissances dans un but commun. Le KM, quant à lui, est le fait de manager le capital connaissance à l’intérieur d’une organisation. A travers la KE/KM, on aperçoit une nouvelle façon de pratiquer le management, qui consiste à utiliser de manière plus bénéfique les connaissances de chaque membre de l’équipe ainsi que les informations. En effet, la KE/KM est fondée sur la création d’un savoir collectif que cela concerne un savoir tacite ou explicite. Les domaines des NTIC (Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication) et de la R&D (Recherche et Développement) sont les premiers à mettre en œuvre cette manière de management. La KE/KM se justifie par le regroupement de différents composants du capital immatériel, qu’il s’agisse d’un capital intellectuel, humain ou d’un capital portant sur les qualités. Cependant, il ne faut pas négliger les contradictions que la KE/KM entraine au sein même de l’entreprise. En effet, la compétition persiste toujours entre salariés et menace ainsi la pérennité de la KE/KM.
Selon nous, la KE/KM est en totale adéquation avec la pensée d’Auguste Comte : « Savoir pour prévoir, afin de pouvoir ». En outre, nous avons pu nous rendre compte au sein d’un groupe de travail, que l’information était soit difficile à diffuser ou mal retransmise provoquant ainsi une carence d’efficacité au sein d’une équipe. C’est à ce niveau que l’utilité de la KE/KM se justifie à nos yeux.
Mots clés : Savoir, Connaissance, Mutation, Performance, Innovation.
Sources :
http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/05/16/apres-la-crise-l-economie-de-la-connaissance_1521417_3232.html
http://www.skema-bs.fr/programmes/grandes-ecoles-esc/qu-est-ce-que-economie-de-la-connaissance
http://www.epi.asso.fr/revue/articles/a0403a.htm
2ème article :
Le KM social est une nouvelle manière de connecter de gens afin d’obtenir une diversité au sein d’une entreprise. En effet, les différents points de vues, opinions sont nécessaires pour obtenir une approche objective sur des projets. L’addition de toutes les connaissances fait la richesse du travail collectif. Grâce au KM social, la disposition des employés sur la hiérarchie pyramidale n’est plus adaptée, on privilégie désormais une organisation qui relie les employés entre eux, selon les forces et les faiblesses de chacun.
La communication interservices n’étant pas optimale, le KM social s’avère primordial pour combler les pertes de temps et d’énergie liées à un manque de communication. C’est en cela que les plateformes de partage (intranet, réseaux sociaux etc.) trouvent leur utilité et sont une plus value pour les entreprises. Les personnes peuvent désormais s’appuyer sur des informations préalablement connues.
Dans la même optique, l’open innovation est basée sur le partage, l’entraide entre entreprises, à la fois compatibles avec une économie de marché ou une intelligence économique. On peut également voir apparaître une nouvelle forme d’éthique, de partage du savoir et du savoir-faire. Comme étant de la génération Y, c’est à dire, la génération des nouveaux moyens de communication et de la technologie, cette nouvelle manière de faire nous apparaît comme nécessaire. En effet, grâce à cela, nous pouvons rentabiliser notre temps et notre information pour être le plus productif possible. Dans une société de plus en plus internationalisée, la diversité est aujourd’hui un atout car elle favorise des avis divergents. On ne favorise plus comme dans le passé l’individu mais l’intérêt collectif, qui est d’autant plus profitable que les points de vue sont différents.
La collecte d’informations ne doit pas se faire qu’au sein de l’entreprise mais également avec tous les acteurs économiques. Starbucks en montre l’exemple avec une démarche intéractive et collaborative des clients afin de trouver des solutions aux problèmes rencontrés (écologie) grâce à la mise en commun de points de vue différents.
Sources :
http://www.innovationpartagee.com/Blog/archives/open-innovation-et-ecologie-lexemple-de-starbucks-betacup/
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89conomie_sociale_et_solidaire
https://contenu.william.coop/Librairies/Documents/guide-de-reference-sur-l-economie-sociale.pdf
http://fr.wikipedia.org/wiki/Innovation_ouverte
ESNAULT Nicolas / GANCHOU Léa / GAUFFRE Valentine / GONTARD ROMANE / GUICHARD Edouard